Descubre la obra contemporánea de Didier Hannecart
Né en 1956 à Sissonne dans l’Aisne, Didier Hannecart intègre l’Ecole des Beaux-Arts de Reims à 21 ans. Il y étudie pendant 5 ans dont trois dans l’atelier de sculpture de Charles Auffret. On sent encore l’influence de ce dernier dans son œuvre actuelle. Une fois son diplôme obtenu, Didier est reçu au concours d’entrée en atelier à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris dans laquelle il intègre l’atelier de Jean Cardot.
Influencé par Rodin, Claudel et Malfray il essaie de perpétuer la tradition statuaire française. En 1983, à tout juste 27 ans, il participe à son premier Salon des Artistes Français au Grand Palais. Les années suivantes, expositions et salons se succèdent. Jusqu’à ce qu’en 1986 il commence à enseigner le dessin dans un établissement privé et s’éloigne peu à peu de la création statuaire.
Sa reprise en 1989 amorce le début d’une période faste tant dans la création d’œuvres que dans les expositions et l’obtention de récompenses. La première, dès son retour au Salon des Artistes Français est une médaille de bronze ainsi que le Prix REGNIER de la fondation TAYLOR. S’en suivront les Prix C. PREGNIARD et Art-Dialogue l’année suivante, le Prix L. RIGNAULT en 1991 et le 2e Prix à la Galerie Vendôme en 1992. Enfin, en 1997, la médaille d’or au salon des Artistes Français. La même année, il sera également Lauréat du Prix Susse Frères. En 1999, nouvelle consécration au Salon Violet à Paris où il obtient de nouveau la médaille d’or.
Mais, encore une fois, petit à petit, il s’éloigne du monde des expositions et des salons afin d’acquérir plus de stabilité. Il commence à travailler dans la création de carrousels dans l’ancienne Manufacture des Glaces à Saint-Gobain. Il continue cependant d’exposer épisodiquement dans le département.
Aujourd'hui, dans la perspective de nouvelles expositions il se consacre de nouveau pleinement à son art. En effet, après être repassé par le Salon des Artistes français cette année, il envisage d’exposer prochainement ses nouvelles œuvres dans des galeries axonnaises et rémoises.
Né en 1956 à Sissonne dans l’Aisne, Didier Hannecart intègre l’Ecole des Beaux-Arts de Reims à 21 ans. Il y étudie pendant 5 ans dont trois dans l’atelier de sculpture de Charles Auffret. On sent encore l’influence de ce dernier dans son œuvre actuelle. Une fois son diplôme obtenu, Didier est reçu au concours d’entrée en atelier à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris dans laquelle il intègre l’atelier de Jean Cardot.
Influencé par Rodin, Claudel et Malfray il essaie de perpétuer la tradition statuaire française. En 1983, à tout juste 27 ans, il participe à son premier Salon des Artistes Français au Grand Palais. Les années suivantes, expositions et salons se succèdent. Jusqu’à ce qu’en 1986 il commence à enseigner le dessin dans un établissement privé et s’éloigne peu à peu de la création statuaire.
Sa reprise en 1989 amorce le début d’une période faste tant dans la création d’œuvres que dans les expositions et l’obtention de récompenses. La première, dès son retour au Salon des Artistes Français est une médaille de bronze ainsi que le Prix REGNIER de la fondation TAYLOR. S’en suivront les Prix C. PREGNIARD et Art-Dialogue l’année suivante, le Prix L. RIGNAULT en 1991 et le 2e Prix à la Galerie Vendôme en 1992. Enfin, en 1997, la médaille d’or au salon des Artistes Français. La même année, il sera également Lauréat du Prix Susse Frères. En 1999, nouvelle consécration au Salon Violet à Paris où il obtient de nouveau la médaille d’or.
Mais, encore une fois, petit à petit, il s’éloigne du monde des expositions et des salons afin d’acquérir plus de stabilité. Il commence à travailler dans la création de carrousels dans l’ancienne Manufacture des Glaces à Saint-Gobain. Il continue cependant d’exposer épisodiquement dans le département.
Aujourd'hui, dans la perspective de nouvelles expositions il se consacre de nouveau pleinement à son art. En effet, après être repassé par le Salon des Artistes français cette année, il envisage d’exposer prochainement ses nouvelles œuvres dans des galeries axonnaises et rémoises.